mercredi 26 février 2014

Voilà enfin le premier épisode de la série Youtube que Panda et moi-même lançons aujourd'hui. N'hésitez pas à commenter, à mettre un pouce vert, un commentaire, à nous dire si vous aimez, ou si ça pue grave des pieds. Pour l'instant la qualité de son est vraiment toute pérave de mon côté mais ça va se corriger.






Popee




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J'étais en compagnie d'un ami, et nous joggions avec un groupe de personne assez important - je dirais une trentaine de personnes. Je portais une serviette rouge autour du cou, et mon compagnon était habillé de vêtements de ville - tenue parfaite pour de la course à pieds. Tous en rang deux par deux. Au bord d'une carrière d'équitation ( oui premier couack ) qui elle-même était au bord d'une zone portuaire ( mais tout à fait ). Un des types du groupe se met à gueuler nerveusement qu'on "fait que du plat, qu'il veut du dénivelé et qu'on est rien qu'une bande de tapettes. Pendant qu'une troupe de nenettes un peu greluches tente de me piquer mon duo de course, j'explique au mec que la prochaine fois qu'il me parle de cette façon je lui "péterais les dents parce qu'on dit s'il te plait".

On se décide tous à changer de coin pour trouver du dénivelé, en prenant un bateau-mouche. Sur la mer. Mon duo et moi nous mettons à l'écart, et je constate qu'un type à côté de nous à des mèches roses et s'appelle Benjamin. Je prends conscience dans mon rêve qu'un ami de lycée s'appelait Benjamin. Le temps de cette réflexion, tout le monde est parti sans moi puisque nous avons accosté aux abords d'un centre commercial souterrain ( WTF ). Les hôtesses fringuées façon 5e élément version noir et blanc m'indiquent que le groupe est parti de ce côté. J'entends une moquerie venant d'une nana au téléphone : " elle a perdu son groupe la teubée, en plus elle est trempée." Je constate que j'ai perdu ma serviette. Impossible de retrouver le groupe. Donc mon duo. Je me réveille.





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mercredi 19 février 2014



C'est avec un peu de recul que j'écris cet article. J'en avais d'autres en stock, et bien préparés, mais ça m'a semblé important de mettre celui-ci en avant. Pour ceux qui ont l'habitude de me suivre, depuis mes débuts sur les internets, il est à peu près acquis que je ne me mêle que très rarement aux opinions politiques et aux questions d'éthiques. Je suis en générale objective et je possède mes propres convictions.


Malgré mon ouverture d'esprit, j'avais prit le parti de ne pas participer aux débats sur tout ce qui touche la communauté homosexuelle ces derniers temps, je soutiens mes proches homosexuels individuellement dans leurs combats respectifs, et j'essaie d'être un bon soutien, une amie. Mais depuis quelques jours, je vois circuler un article sur Facebook, Twitter, et autres. Je parle de cet article concernant le travail d'un photographe - Braden Summers - qui reçoit beaucoup de retours et de support. Cet individu s'est récemment rendu dans 6 pays différents, pour " montrer que l’amour est partout, peu importe votre culture, peu importe votre sexualité." d'après son projet, et les dires de Daily Geek Show.


Il est mentionné dans l'article du Daily Geek Show que "le photographe new-yorkais Braden Summers a eu l’idée de cette nouvelle série de photos alors qu’il était fatigué des images de la communauté LGBT déformées dans les médias et de voir que toutes les images emblématiques de l’amour qui viennent à l’esprit soient les couples hétérosexuels. Il a donc décidé de prendre les choses en main en essayant de provoquer un changement dans l’esprit de tout le monde.
Braden a voyagé dans le monde entier pour créer ces scènes romantiques jouées exclusivement par des couples homosexuels. Le photographe a intitulé cette série «Tout amour est égal». Avec un ami producteur, il s’est rendu à Paris, en Inde, au Liban, en Afrique du Sud, au Brésil et aux États-Unis pour travailler sur ce projet qui a duré six semaines."


Voici ma réaction face au contenu de son travail et de cet article. L'idée est louable. Les images sont belles. Oui. Mais le but est manqué. Cet homme était fatigué de l'image collée à la communauté LGBT, et pourtant, à mes yeux, il n'a fait que renforcer cette image.


Comprenez par là que le fait de photographier des scènes créées de toute pièce, plus irréalistes les unes que les autres ne redore pas l'image d'une communauté qui se débat pour être reconnue. Je ne pense pas que les LGBTs se sentent soutenus par l'idée d'un reportage exclusivement basé sur l'amour liant un homosexuel à un autre, dans des cadres idylliques, via des scènes jouées par des mannequins - homosexuels ou non - et dont les scénarios sont improbables.


Un mariage lesbien en habits traditionnels dans l'Inde actuelle, deux Libanaises respectant leurs traditions, s'aimant librement, c'est un rêve. Pas une réalité. C'est ce que l'on voudrait oui. Mais ce n'est pas représentatif de l'actualité des libertés homosexuelles.


J'aurais préféré qu'il définisse son travail par l'envie de voir ses idées se réaliser plutôt que de prétendre vouloir défaire l'image créée par les médias. Il ne redresse en rien l'image des LGBTs.


J'essaie de vous dire une chose : Pour les gens qui soutiennent le mouvement, oui les images sont belles et porteuses d'espoir. Elles choquent certains membres de cette communauté, certains soutiens de cette communauté, mais ceux qui sont choqués peuvent comprendre le but de la manoeuvre même s'il n'est pas atteint. Mais je me mets dans la peau d'un opposant à la communauté LGBT, d'une personne ne comprenant pas une sexualité et une manière de penser différente de la leur. Ce qu'ils voient ? Des mensonges. Deux Africaines qui s'aiment librement, sans un regard accusateur. Deux hommes en terrasse de café qui s'embrassent sans attendre un monde autour d'eux pour les juger. Deux autres, assis dans la rue, lisant, naturellement assis par terre ( Louisy Joseph, on ne t'a pas demandé de chanter, s'il te plait, ne.. Non. ) un sourire gigantesque aux lèvres.


Peut-on me dire ce qui est représentatif de la réalité ici? Des figures de mode ? En grandes pompes ? Des clichés ? Des gens acceptés comme ils sont, beaux, et bien apprêtés, dans des cadres merveilleux ? Braden - je me permets de t'appeler Braden, ne me frappe pas - rapproche-toi de ton but. Va aux bouts des choses. Soit humaniste. Pas publicitaire. Tu ne prépares pas la prochaine couv' de Vogue. Pourquoi ces plastiques parfaites. Elles ne font qu'accentuer le côté irréel de ton travail. Ne penses-tu pas que tu donnes une occasion rêvée pour certains de victimiser un peu plus la communauté LGBT ? D'y coller une étiquette solide ? Et pourquoi uniquement des couples homosexuels si ton intention et de montrer que tout amour est égal ? Des homos, des hétéros, des vieux, des jeunes, des moches et des beaux. Des fatigués, des tristes, des enjoués, des calmes. Des harcelés, des méfiants, des têtes hautes face à l'affront constant de ce que certains appellent un amour pas naturel. Montre-nous tout ça. C'est ce qui est représentatif de ton envie. Alors que tout dans ton "reportage" sonne si faux, si creux. Et c'est dommage. Et c'est triste.


Les moyens étaient là, à ta disposition. Mais comme un étudiant un peu perdu, tu avais l'intention, et tu as foncé droit dans le mur : Celui du Hors Sujet.
Tu auras au moins eu le mérite de soulever un sujet important, et de faire tout de même de belles images. Dommage cependant que celles-ci soient un rêve encore lointain.


Sans animosité, et sans haine


Popee
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mardi 11 février 2014

J'ai réfléchis à une nouvelle série d'articles, légers et courts, que je pourrais publier de manière régulière, puisque, je suis reconnue pour faire des rêves complètement jetés. Sachant qu'écrire mes rêves me permet de m'en souvenir, et que j'aime bien voir à quel point mon ciboulot est siphonné. Si ça vous plait, je serais bien tentée de vous en publier un par semaine. Sans plus attendre le numéro 1 des :





Nous étions six jeunes en cavales, tentant d'échapper à la police parce "qu'on roulait mal" en voiture. Dans le lot il y avait Mila Kunis, Peter Evans, Margaux mon amie de jeunesse, moi, et deux garçons dont je ne me rappelle pas: un brun et un blond frisé. Le conducteur blond frisé démarrait trop vite, nous nous prenions, oh allez, 4G dans les dents à chaque accélération. Je gueulais sur le blond quelque chose du style : " EH CONNARD J'AI PAS FINI DE M'ATTACHER RALENTI PAS TOUT DE SUITE J'VEUX PAS MOURIR AVANT DE M'ETRE ATTACHEE !! ". Boum, qu'est-ce qu'il fait ? Il pile. Bien évidemment. Hop je perds ma jambe gauche, comme ça, ploup. Tout net. Barbie à qui on dégonde un cuissot. Okay, d'accord pourquoi pas. On descend de voiture, Margaux croque dans un sandwich à l'araignée - réminiscence d'un ancien rêve plus ancien qui me hante, où la bouffe se réhydratait dans nos gorges en microscopiques araignées dégueulasses trololol. Elle m'insulte puis me le jette en travers du visage avant de disparaitre pour TOUJOURS - j'avais préparé les sandwichs, c'était ma faute, gourde. On abandonne la voiture après une nuit clandestine sous une tente faites de couettes et autres draps bien visibles de type Babar / le Roi Lion / Jurassic Park. Et l'aventure recommence, on infiltre un lycée, qui se voit finalement être un centre commercial, et puis non, une gare transilien. Arriver là on se fait coincer par la police/voirie, et le rêve se termine sur une belle apothéose : Une baston de Laser Quest. Si vous vous posiez la question, je me bastonne sans pression, avec ma jambe en moins. Nous perdons. Le réveil sonne.




Ca vous plait ? Ca tombe bien. Je vous laisse une petite adresse mail, juste ici au bas de l'article, pour participer en me racontant vos rêves et soyons fous, les publier ici si je les trouve assez WTF. Les seules contraintes sont que ce soit assez COURT - j'insiste sur ce point - écrit correctement, et que je trouve ça drôle. Alors c'est parti ? A vos crayons, à vos rêves.




KPMHblog@gmail.com

Popee


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